J'ai commencer à écrire une fiction sur la Révolution Française! Aller sur la page: Rue des mots de Shen'!
N'hésitez pas à me dire ce que vous en penser!
Sur ceux je retourne aux fourneaux!
Tchuss!
Shen'
La plume de Shengkai Wang
dimanche 13 octobre 2013
mardi 24 septembre 2013
Mon explication sur Lorenzaccio
Lorenzaccio d'Alfred de Musset (Explication)
Aujourd'hui, on m'a demander d'argumenter sur Lorenzaccio de Musset, d'expliquer en quoi cet auteur avait mis une pars de lui en Lorenzo.
Quelqu'un m'a dit un jour que l'histoire ne cessé jamais de se réécrire, que ceux qui l'écrivait n'était pas forcément ceux que l'on crois.
Je n'ai jamais cessée de croire que, lorsqu'un auteur crée un personnage, il m'est un morceau de son âme en lui, et je vais essayer de vous le prouver aujourd'hui.
L'histoire n'est qu'une réécriture constante de faits, d'actes et de mots. Ainsi, les pouvoirs qui régissent les nations sont toujours confrontés à des opposants armés. "La plume est plus puissante que l'épée" (Edward Boldwer Lytton, Richelieu ou la conspiration), tel semble agir Musset dans sa pièce Lorenzaccio. En effet, à travers son personnage éponyme, l'auteur remet en cause le régime politique dans lequel il vit. Sa personnalité se reflète dans Lorenzo qui apparaît comme un personnage ambigu, un tyrannicide sans cause totalement désenchanté. On peut alors se demander comment Musset s'y prend-il pour faire passer ses sentiments et idéaux à travers son héros.
En premier lieu, nous verrons les similitudes de vie et de caractère des deux êtres puis l'étude mettra en lumière ce qui les différencie.
L'auteur et son personnage central son le miroir l'un de l'autre, ne serait-ce que pour la déchéance et la désillusion amoureuse... deux thèmes qui vont souvent et malheureusement de paire. Lorenzo et ces femmes qui défilent dans ses bras, dans ses nuit éphémère pour combler un vide qui le blesse, le déchire un peu plus, une relation impossible avec, on s'en doute, Alexandre de Medicis, son cousin. Son auteur, le marionnettiste qui guide ses pas quand à lui fait face au cœur brisait que lui à laissé Georges Sand, pour ensuite se perdre dans l'alcool et les femmes, essayer d'oublier. Leur souffrance ne leur enlevant pas la gouaille et l’éloquence dont tout deux font preuve, un fois de plus pour, on suppose, se cacher derrière un masque ( "Une insulte de prêtre dois être faite en latin", se moque Lorenzo dans l'acte I. 4). Un masque bien fragile, se fissurant à la moindre angoisse, ils s’effondre tout d'eux, s'évanouissant à la simple vue d'une épée dans le cas de Lorenzo (Acte I. 4).
Mais si il y a bien des moments où il sont le reflet de l'un de l'autre, c'est bien lors de ces retournement, ces analyses qu'ils font d'eux même. En philosophie, on parle d'introspection, lorsque le sujet se replie sur lui même pour essayer de mieux se connaître, ici, nous avons affaire à quelque chose du même genre. "Quel homme de cire suis-je donc?" (Acte IV. 5) se questionne le jeune italien par la plume de son créateur, une question que lui même il se pose. Il cherche à combattre côte à côte contre les régimes politiques sous lesquels ils évoluent tout deux, l'un pour contourner la censure et l'autre pour essayer de se faire un nom en assassinant froidement l'homme qu'il aime et haie à la fois. L'auteur va même jusqu'à confondre leurs enfances, par des souvenir de Marie Sorderini, la mère de Lorenzo, qui, parlant de son désespoir à Catherine Ginori, évoque un souvenir qui est clairement autobiographique: "Le voyant rentrer de son collège, avec ses gros livres sous le bras" Acte I. 6.
Mais si il y a bien des moments où il sont le reflet de l'un de l'autre, c'est bien lors de ces retournement, ces analyses qu'ils font d'eux même. En philosophie, on parle d'introspection, lorsque le sujet se replie sur lui même pour essayer de mieux se connaître, ici, nous avons affaire à quelque chose du même genre. "Quel homme de cire suis-je donc?" (Acte IV. 5) se questionne le jeune italien par la plume de son créateur, une question que lui même il se pose. Il cherche à combattre côte à côte contre les régimes politiques sous lesquels ils évoluent tout deux, l'un pour contourner la censure et l'autre pour essayer de se faire un nom en assassinant froidement l'homme qu'il aime et haie à la fois. L'auteur va même jusqu'à confondre leurs enfances, par des souvenir de Marie Sorderini, la mère de Lorenzo, qui, parlant de son désespoir à Catherine Ginori, évoque un souvenir qui est clairement autobiographique: "Le voyant rentrer de son collège, avec ses gros livres sous le bras" Acte I. 6.
La relation entre un auteur est son personnage est parfois si forte qu'il est difficile de différencier les deux, dans ce cas précis, il est possible de trouver quelque différence néanmoins.
L'un évolue dans une Florence en 1537 tendis que l'autre en 1830, dans une France perdue. Musset n'est pas le noble qu'est Lorenzo de Médicis, il n'est pas non plus si près du pouvoir, et le peuple n'a pas une si piètre opinion de lui...
Sur ce dernier point, Lorenzo est la lie de Florence, il est celui que tout le monde déteste, celui qui est regardé avec mépris dans la rue. "Tu es la mère de nos malheurs" (Acte I. 6) ainsi s'adresse le peuple Florentin à la mère de Lorenzo. Dans l’esprit des florentins, il est le cousin de l’oppresseur, un jeune dépravé "né avec un cuillère d'argent dans la bouche" qui n'en à cure du peuple et qui ne pense qu'à boire et à passer de bon moment en compagnie de personnes du sexe opposé. Dès la première scène, à la troisième réplique, les sentiment de Lorenzo par rapport aux femmes, son clair: "Deux grand yeux languissant, cela ne trompe pas. Quoi de plus curieux pour le connaisseur que la débauche à la mamelle?" (Acte I. 1). A cet instant, il donne des conseil à son cousin pour séduire une jeune fille de quinze ans, avec qui il doit ce rendre à un mariage, pour lui enlever son innocence.
Mais la plus grosse différence reste néanmoins que Lorenzo est un nom écrit à l'encre sur une page blanche, tendis que Musset et bel est bien réel, conscient de ses actes et ayant le contrôle sur lui même et sur celui de son personnage éponyme. Lorenzo meurs à l'avant dernière scène de la pièce, mais sa mort ne signifie pas pourtant la fin de l'oeuvre, Musset écrit l’ultime scène. De plus le fait que la pièce est était jouer, mise en scène et interprétée maintes fois avec des distributions différentes, prouve le détachement du personnage est de son auteur.
Sur ce dernier point, Lorenzo est la lie de Florence, il est celui que tout le monde déteste, celui qui est regardé avec mépris dans la rue. "Tu es la mère de nos malheurs" (Acte I. 6) ainsi s'adresse le peuple Florentin à la mère de Lorenzo. Dans l’esprit des florentins, il est le cousin de l’oppresseur, un jeune dépravé "né avec un cuillère d'argent dans la bouche" qui n'en à cure du peuple et qui ne pense qu'à boire et à passer de bon moment en compagnie de personnes du sexe opposé. Dès la première scène, à la troisième réplique, les sentiment de Lorenzo par rapport aux femmes, son clair: "Deux grand yeux languissant, cela ne trompe pas. Quoi de plus curieux pour le connaisseur que la débauche à la mamelle?" (Acte I. 1). A cet instant, il donne des conseil à son cousin pour séduire une jeune fille de quinze ans, avec qui il doit ce rendre à un mariage, pour lui enlever son innocence.
Mais la plus grosse différence reste néanmoins que Lorenzo est un nom écrit à l'encre sur une page blanche, tendis que Musset et bel est bien réel, conscient de ses actes et ayant le contrôle sur lui même et sur celui de son personnage éponyme. Lorenzo meurs à l'avant dernière scène de la pièce, mais sa mort ne signifie pas pourtant la fin de l'oeuvre, Musset écrit l’ultime scène. De plus le fait que la pièce est était jouer, mise en scène et interprétée maintes fois avec des distributions différentes, prouve le détachement du personnage est de son auteur.
Enfin, Musset a créé Lorenzaccio pour pouvoir contourner la censure, pour pouvoir faire part de ce qu'il pense de la politique. Lorenzo est le reflet de son créateur, le reflet d'un homme perdu à l'époque, un simple reflet né de son imaginaire. Musset, un auteur qui a écrit cette oeuvre en n'ayant guère conscience que, maintenant encore, elle touche toujours autant ses propos étant encore valables.
lundi 23 septembre 2013
Nouvel arrivant!
Je viens de recevoir Eon et le douzième dragon! Il me tarde de le lire! Rien que la couverture me fait très envie! Mais avant je dois terminer Spring Heeled Jack... pas vrais? *se tourne vers son poster de Jack Sparrow juste à côté de celui de Mulan* Pourquoi m'a vie est toujours aussi compliquée? --"Enfin breff! Je termine le pavé anglais avant d'attaquer la légende chinoise! Il me tarde tellement! Ben quoi?! On a tous nos petit chouchou! ;)
Bonne journée!
Shen'
P.S: Lire les première page n'a jamais tué personne... *ouvre le livre*
dimanche 22 septembre 2013
The Price Of Freedom
The Price Of Freedom de A.C Crispin
Synopsis: Le cœur de Jack Sparrow est mis à rude épreuve. Son passé dans la piraterie, les retrouvaille avec son première amour et son devoir de marin. Lorsque Cutler Beckett le charge de retrouver une île légendaire qui, dit-on, renfermerait un fabuleux trésor, Sparrow ne se doute pas un instant que cette aventure l'enverrait au plus profond de lui même et de son âme. Ses souvenirs revenant plus vif et douloureux que jamais, son amour de la liberté est mis à rude épreuve, c'était sans compter sur la présence d'Ayisha, mystérieuse servante sous disant d'origine de cette fameuse îles. Du haut de ces vingt-cinq ans, Jack Sparrow vois sa vie basculer et, si par malheur, il venait à écouter se que lui disait son cœur, Beckett n'aurait aucun mal à le priver des deux chose qu'il aime le plus au monde: son navire, et sa liberté.
Le pour: Indispensable pour tout les fan de Pirates des Caraïbes et juste les passionnée de piraterie! Nous découvrons une Capitaine Jack Sparrow sentimentale et torturé par cette sensibilité... Une aventure palpitante en pleine mer!
Le contre: Malheureusement disponible qu'en anglais, ce pavé de 653 pages peu être difficile d’accès pour des lecteurs n'ayant pas une bon niveau dans la langue de Shakespeare, sans parler du vocabulaire nautique. Les première séance de lecture ne peuvent pas se faire sans un dictionnaire bilingue à côté de sois, ce qui peu être un peu agaçant, je vous l’accorde. Mais l'avantage c'est qu'après vous pouvez épater vos proche par votre connaissance dans l'art de faire naviguer un navire!
Anecdote de lecture: J'ai lut les dernière 200 page en une nuit, de 20h à 2h00 du matin dans ma cuisine en mangeant nerveusement de la réglisse... Je ne regrette absolument pas!
vendredi 20 septembre 2013
Encre
Encre de Fernando Trias de Bes
Synopsis: “La réponse résidait dans la peau de l’amant. Ses pores contenaient de minuscules et invisibles traces de ce liquide noir qui génère tant de passions. Ce mélange dense et obscur au pouvoir illimité. De l’encre.“
Dans la Mayence de Gutenberg, au début du XXe, une femme vit une passion insensée. Tous les mardis, contre son gré, elle rejoint dans une chambre d’hôtel un amant dont elle ne sait rien, et qui exerce sur elle une aberrante emprise. Son mari, libraire, trouve dans les livres mille raisons à toutes sortes de passions, mais pas une à l’injustice qui le frappe. Se présente un jour à lui un mathématicien désespéré par la disparition de son fils qui poursuit la même quête à travers les chiffres. Les deux hommes s’allient pour composer l’ouvrage capable de les aider à s’affranchir du non-sens qui les hante.
Avec ce court roman philosophique qui convoque tous les acteurs du livre et les appelle à unir leurs savoirs face à l’infortune humaine, Fernando Trías de Bes signe une œuvre fervente, dédiée aux sortilèges inépuisables de la lecture.
Le pour: Très bien écris et simple à comprendre, ce court roman philosophique enchante et fait réfléchir. Je l'ai lut rapidement (il fait 166 pages) mais cela ne m'a pas empêchais de me délecter de caque mots et tournure de phrases si élégante et hypnotique. Les personnages ont chacun une histoire bien propre et le fait de la découvrir petit à petit ne fait que donner un peu plus de cacher à ce bijoux. Conseillé à tout les amoureux des livres et de la lecture!
La contre: Dommage que ce livre n'ai pas la possibilité de donner aux gens l'envie de lire...
Anecdote de lecture: Je ne sais pas vraiment si nous pouvons appeler cela une anecdote mais, après avoir finit cet ouvrage, je n'ai pas réussis à fermer l'oeil de la nuit, non pas que j'avais peur, mais la question de la Raison me revenait constamment en tête... A croire que l'auteur à vraiment bien fait son travail.
Prochaines lectures prévues:
_ Encre de Fernando Trias de Bes
_ The price of Freedom de A.C Crispin
_ L'étrange affaire de Spring Heeled Jack de Mark Hodder
_ Mary Tempête de Alain Surget
_ Eon et le douzième dragon de Alison Goodman
_ Enfernité de Brodi Ashton
Les amis... J'ai du bouleau!
Casanova et la femme sans visage
Résumé: Après avoir sauvé Louis XV de la mort lors de l'attentat de Damiens, et malgré son peu de goût pour la monarchie, le jeune Volnay obtient du roi la charge de commissaire aux morts étranges dans la police parisienne. Aidé d'un moine aussi savant qu'hérétique et d'une pie qui parle, Volnay apparaît comme le précurseur de la police scientifique, appelé à élucider les meurtres les plus horribles ou les plus inexpliqués de son époque. Epris de justice, c'est aussi un homme au passé chargé de mystère, en révolte contre la société et son monarque qu'il hait profondément. Lorsque, en 1759, le cadavre d'une femme sans visage est retrouvé dans Paris, Volnay doit conduire une enquête sur le fil du rasoir avant que le meurtrier ne frappe de nouveau. Surveillé de près par Sartine, le redoutable chef de la police qui voit d'un mauvais œil ce policier hors normes, Volnay, aidé à cette occasion par le libertin Casanova en personne et une jeune aristocrate italienne tournée vers les sciences et le progrès, remonte la piste d'un crime qui pourrait impliquer la Pompadour et Louis XV lui-même. Mais entre des alliés incertains et des adversaires redoutables, à qui le commissaire aux morts étranges peut-il se fier ? Des intrigues de la Cour de Versailles à la mystérieuse maison du Parc-aux-Cerfs, Casanova et la femme sans visage restitue avec une stupéfiante justesse, dans l'atmosphère si particulière de l'époque, les étonnants personnages que sont Louis XV, la marquise de Pompadour, Casanova et la figure énigmatique du comte de Saint-Germain, et inaugure une série policière des plus prometteuses.
Le pour: Un seul mot: excellent! Un style fluide et agréable à lire, le personnage principal à la classe et on ne peu que l'aimer. L’ambiance est si bien dépeinte que nous pourrions presque sentir et entendre les bruit de Paris! Des scènes de combat à l'épée agréable à lire et une enquête vraiment prenante saupoudrée d'une histoire d'amour, tout ce qu'il faut pour faire de ce livre un petit chef-d'oeuvre du genre!
Le contre: Il faut attendre la suite...
Anecdote de lecture: Le lire en une nuit et le relire trois fois supplémentaire .. il me semble bien que c'est le seul livre qui m'est jamais fait un effet pareil! Mesdames, le charmes sombre et élégant du chevalier Volnay vous suivra jusqu'au plus profond de vaut rêves! Je peut vous le jurer...
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